De nos jours, l'alimentation est devenue plus dangereuse pour notre santé que de traverser la rue. Cancers, maladies auto-immunes, diabètes, dépressions sont en augmentation, les maladies sont le quotidien de tous les êtres humains sur Terre. Selon le forum économique Mondial, on parle de progrès révolutionnaire, des toutes nouvelles biotechnologies, d'un monde nouveau où la pauvreté, la maladie et la faim seront éradiquées de la planète. Pourtant, les méthodes traditionnelles sont toujours ridiculisées, comparées à du charlatanisme alors qu'elles sont la base de la médecine traditionnelle. Les remèdes simples et peu chers voire gratuits que l'on peut trouver dans la nature n'intéressent pas beaucoup le complexe militaro-industriel et pharmaceutique. C'est pourquoi, il contrôle, soumet et instaure des lois pour leur intérêt économique et pour continuer leur profit quoi qu'il en coûte.
Le pilier de la naturopathie est l'hygiène de vie par l'éducation et la prévention. Nous pouvons apporter un soulagement, une amélioration des symptômes avec des bases saines et efficaces. Après plusieurs entrevues auprès de médecins, je n'ai jamais entendu parler de nourriture, de relaxation, d'exercices respiratoires, c'est l'usine à médicaments pour laboratoire pharmaceutique.
Est-ce que soigner est devenu synonyme de prescrire des médicaments souvent des plus toxiques pour le corps et est-ce que cela rapporte suffisamment d'argent pour ne surtout pas changer de système de soin ?
Certes, les médicaments donnent des résultats, maintiennent la santé et surtout sauvent des vies, nous ne pouvons pas nier l'évidence du progrès ou du soulagement immédiat des traitements médicaux. Pourtant, l'essentiel est oublié, car nous ingérons trois repas par jour voire davantage sans nous soucier des répercussions que toutes ces substances peuvent avoir sur notre organisme.
Des témoignages ont démontré que se nourrir sainement améliorait souvent les maladies auxquelles nous sommes confrontées. On sait que les maladies auto-immunes ou les dépressions sont en corrélation directe avec les microbiotes intestinaux.
Par exemple, dans le cas du "lupus érythémateux disséminé", une étude de l'université de Yale a prouvé le lien entre microbiote intestinal et maladie auto-immune. Une bactérie "Enterococcus gallinarum" a été retrouvé dans le foie des malades et non présente chez les personnes en bonne santé. Cette bactérie migre dans le système lymphatique, provoque l'inflammation et la production d'auto-anticorps par les lymphocytes B et la destruction des cellules infectées par les lymphocytes T. Le système de défense mis en place lors de la première réaction inflammatoire permet de neutraliser les bactéries, lorsqu'il n'y a pas assez de pouvoir alors une réponse immunitaire plus spécifique s'instaure auprès de l'agent pathogène. Cela conduit à une inflammation chronique et les propres cellules de la personne sont attaquées et détruites. Pour soulager ce phénomène inflammatoire, un changement alimentaire peut donner des résultats probants, en instaurant un protocole qui englobe une hygiène de vie saine et complète comme par exemple, apporter des acides gras polyinsaturés, des oligo-éléments, des minéraux et vitamines. Notre première barrière immunitaire est liée aux intestins qui sont tapissés d'une muqueuse et d'un écosystème bien particulier. De nombreuses villosités permettent l'absorption des nutriments (protéines, glucides, lipides…). Lorsque la paroi du tube digestif est distendue aux niveau des jonctions serrées de l'épithélium intestinal des agents pathogènes peuvent pénétrer dans l'organisme.
Dès la naissance, l'enjeu est crucial, nous devons consommer une nourriture vivante comme l'allaitement maternel, la diversification alimentaire en mangeant des fibres, des légumineuses, des fruits, des céréales complètes, des légumes afin d'apporter à la flore intestinale de quoi subvenir à ses propres besoins, mais aussi aux nôtres.
Voilà ce que l'on peut encore contempler dans les salles d'attente des médecins, une belle illustration d'un enfant faisant le marketing des industriels, ici "Guigoz".
La propagande publicitaire industrielle, nous oblige à consommer leurs produits toxiques, transformés, agrémentés d'un contenu toujours plus addictifs. Entre 1942 et 1952, les amérindiens des pensionnats d'autochtones ont été instrumentalisé par le gouvernement fédéral Canadien et les industriels scientifiques expert en nutrition. Des expériences ont eu lieu sur plus de 1000 enfants, déjà pour la plupart, ils souffraient de dénutrition et de maladies comme la grippe, la tuberculose, la variole. Ces scientifiques vont modifier l'alimentation des enfants ou bien la maintenir insatisfaisante pour tester la répercussion des aliments sur leur santé. Les enfants autochtones parlaient des "5 blancs" qui sont le sel blanc, le sucre blanc, le lait de vache, la farine raffinée, la margarine, entre autres, car bien évidemment, la liste des ingrédients nocifs est beaucoup plus longue. En soi, c'était un cadeau des blancs, mais empoisonné, dû au raffinage et à la perte en vitamines et minéraux des aliments, sans nutriments et qui provoque une accoutumance au même rang que l'alcool, le tabac ou la cocaïne. Ils ont également testé sur ces enfants des compléments alimentaires, pour comprendre comment traiter la malnutrition, mais bien-sûr au détriment de la santé des enfants. Pour preuve, ces pensionnats sont réputés pour être des camps de l'horreur, de nombreux témoignages existent aujourd'hui, les autochtones amérindiens ont subi des sévices sexuels extrêmes de la part des jésuites qui s'occupaient des pensionnats, mais aussi des expériences de contrôle mental abominables ( CIA - MK ultra control ).
Un simple désolé de "Justin Trudeau" ministre canadien, des religieux ne suffira jamais à reconstruire toute une nation.
Environ 130 pensionnats d'Indiens ont existé de 1831 à 1996 subventionnés par le gouvernement canadien et dirigés par les églises. Le but était l'intégration à la société, l'éducation et la conversion au christianisme. On peut constater aujourd'hui, les traumatismes sévères sur des générations entières, mais également une perte identitaire, spirituelle et environnementale de ces premiers peuples qui connaissaient l'importance capitale de l'union et du respect de la terre. On peut dire qu'être profondément intégrer à un monde occidental malade n'est pas signe d'intelligence et de culture sous prétexte de fausses croyances. Les plus incivilisés sont bien ceux qui continuent encore ces mêmes crimes aujourd'hui et qu'il faudrait mettre en prison de toute urgence avant que le monde ne soit totalement lobotomisé par leur mensonge, manipulation et expérimentation abusive.
Les 500 ans de résistance des tribus indiennes face à la suprématie blanche des colons européens ont établis aujourd'hui la société dans laquelle nous évoluons, la société à laquelle nous contribuons pour un monde qui fonctionne à l'envers que ce soit en terme de psychologie, de psychiatrie, de santé, d'éducation, d'instruction, de justice, de bien-être et respect de la terre.
L'alimentation est le produit de la terre par elle nous pouvons retrouver un partage, une solidarité, une autonomie, une protection de la biodiversité, une culture élémentaire des sols basé sur tous les fondements éducatifs, des grandes valeurs que tout petit homme devrait apprendre, mais surtout créer pour subvenir à ses besoins. Nous pouvons comparer l'écosystème de la Terre actuellement appauvri en minéraux et micro-organismes à l'écosystème intestinal car tout ce qui se trouve à l'intérieur se trouve également à l'extérieur.
Quand nous cultivons le sol, nous cultivons aussi ce que nous sommes, c'est par la terre que nous mangeons, c'est par un processus de décomposition des matières organiques que s'effectue l'enrichissement de la terre, tout comme notre flore intestinale. Nous sommes constitués des atomes carbone, oxygène, hydrogène, azote, souffre et phosphore, nous dépendons de la Terre pour être en bonne santé. En ce sens, il est de notre devoir de l'accompagner dans sa régénération, elle nous fournit tous les éléments essentiels à notre subsistance vitale. Les amérindiens ont cette philosophie de vie et ne conçoivent pas cette destruction permanente et polluante de la planète. En consommant des produits néfastes, nous créons un monde destiné aux industries criminelles et nous instaurons une politique dictatoriale. Notre santé est alors entre les mains de monstrueuses personnes sans foi, ni loi où le maitre mot est contrôle.
