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Aluminium, neurotoxicité et vaccination



L'organisation mondiale de la santé prévoit un chiffre d'affaires annuel de 100 milliards de dollars en 2025 pour la vaccination. L'OMS est membre, cofondatrice de l'alliance du vaccin Gavi, créé par Bill et Melinda Gates. Les partenariats sont nombreux, on peut citer la gérance administrative comme allié, la banque mondiale et l'UNICEF. Depuis 2004, la France est l'un des principaux pays donateurs pour l'alliance du vaccin. En outre, ces dirigeants propagent la diffusion de la vaccination sur les enfants avec 11 vaccins devenus obligatoires pour les bébés jusqu'à 18 mois alors que l'aluminium est une neurotoxine.


De plus, les autorisations cliniques ne sont pas étudiées sur la formulation du produit total, mais sur le principe actif comme dans le cas du glyphosate. Les études ne sont pas faites non plus sur la multiplicité des doses, mais que sur une seule dose.


Leur leitmotiv est de sauver des vies notamment en favorisant les vaccins pour les plus démunis avec 981 millions d'enfants vaccinés dans le monde. Or, on connait très bien le phénomène de contagion des maladies qui est l'air, l'eau, la terre. Pour un bénéfice réel, la décontamination de l'eau devrait être la première des mesures d'assainissement essentielles à la santé des enfants du tiers-monde. La pollution est un facteur de contamination criminelle de la part de certaines industries chimiques qui se répercute sur toute la chaîne alimentaire.


L'aluminium, on le respire, on le boit et on nous l'injecte.


Une trentaine de vaccins inactivés sont constitués d'un adjuvant (aluminium), nécessaire pour stimuler le système immunitaire inné. D'ailleurs, les réactions inflammatoires lors de l'injection sont liées à l'aluminium qui potentialise ensuite l'activation du système immunitaire adaptatif pour combattre le virus. Après 28 jours, seulement 6 % de l'aluminium injecté est éliminé dans les urines et 94 % est capturé dans les cellules immunitaires.


Depuis 2000, l'aluminium est reconnu persister pendant de nombreuses années dans les cellules immunitaires, constaté d'après les travaux du professeur Gherardi. L'aluminium est donc bio persistant à 80 % dans le corps et le produit injecté migre vers le cerveau.


Plus de 500 personnes connaissent des effets secondaires suite à des vaccinations comme par exemple l'hépatite B. La myiofasciite à macrophage est une maladie neurologique présentant les symptômes suivants, des douleurs articulaires et musculaires, des troubles neurocognitifs (mémoire, attention...) et une fatigue chronique. Le premier cas a été découvert par le Dr Michelle COQUET (CHU Bordeaux) en effectuant une biopsie, sur un malade présentant des douleurs musculaires inexpliquées. Professeur Romain GHERARDI (Créteil) constate quelques temps plus tard un second cas, mais c'est Philippe MORETTO qui identifie en 1998 l'hydroxide d'aluminium capturé par les macrophages au niveau du muscle de l'épaule, provenant d'une vaccination reçue plusieurs années auparavant.


Actuellement des études sont en cours sur la neurotoxicité, l'autophagie et la bio persistance de l'aluminium dans le corps. Cela pourrait être dû à des gènes spécifiques qui empêcheraient la dissolution de l'aluminium dans le corps.


Une chose est sûre aujourd’hui, une partie de l’aluminium contenu dans les adjuvants diffuse dans l’organisme (…). Nous pouvons affirmer avec certitude qu’on observe un phénomène accumulatif cérébral dans le temps (Pr Gherardi – INSERM – Hôpital Henri Mondor – Créteil).


La toxicité de l'aluminium est connu depuis les années 1970 . L’Institut Pasteur, au vu des alertes sur les effets indésirables induits par cet adjuvant, décide de le retirer de tous ses produits. Il le remplace par le phosphate de calcium (1974 – 1986).


A Tel Aviv, le professeur Yehuda Shoenfeld immunologiste constate chez ses patients directement après la vaccination avec adjuvant des répercussions comme des insuffisances ovariennes, des jeunes filles, bien portante se retrouvent en fauteuil roulant, des groupes d'individus plus fragile développant des maladies auto-immunes, et des myofasciite à macrophage.


Une étude de vaccination a été entreprise sur des singes d'une durée de 12 mois. Le vaccin utilisé est celui de la diphtérie, tétanos avec adjuvant d'aluminium. Le résultat s'avère le même que chez l'humain, des lésions dû à l'aluminium ont été observé dans le muscle.

Toujours chez les pauvres animaux, une autre étude a été démontré en leur administrant des sels d'aluminium. L'observation a conduit à une neurotoxicité. Progressivement, les animaux ont développé une encéphalopathie, une dégénérescence neurofibrillaire de la moelle épinière, du tronc cérébral et de l'hippocampe.


Une ingestion orale d'aluminium devrait être 1 million de fois supérieur à une injection vaccinale pour induire le même niveau d'aluminium dans les cellules immunitaires.


  • Rappelons si besoin que l’aluminium est neurotoxique, cancérigène, mutagène

  • Il est suspecté de provoquer des troubles du neuro-développement chez le jeune enfant (dont l’autisme)

  • Des troubles neurodégénératifs chez les personnes plus âgées (l’aluminium est aujourd’hui utilisé par la recherche pour provoquer Alzheimer chez la souris

  • des troubles auto-immuns et des allergies.

  • Il est également capable d’inhiber 200 fonctions biologiques importantes comme les fonctions mitochondriales, altère la neurotransmission et les fonctions synaptiques, abîme la barrière hémato-encéphalique, et provoque globalement un stress oxydatif partout où il se loge…



Plusieurs maladies seraient imputables à l’aluminium (seul ou comme co-facteur) : myofasciite à macrophages, maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, maladie de Crohn, sarcoïdose, troubles du spectre autistique, syndrome de la guerre du golfe, syndrome de fatigue chronique et certains cas de scléroses en plaques.


Le Pr Luc Montagnier (prix Nobel de médecine), la Food and drug administration (agence sanitaire des États-Unis), l’Organisation mondiale de la Santé, l’Agence du médicament et même la ministre de la Santé Marisol Touraine, qui s’était engagée en 2012 à remettre sur le marché des vaccins sans aluminium.


On pensait au départ que l’aluminium était excrété de l’organisme dans les deux à trois semaines suivant l’injection. Or les récentes découvertes des Pr Gherardi et Authier ont prouvé qu’il persiste au site d’injection de longues semaines puis migre dans l’organisme (rate, ganglions lymphatiques). Il s’accumule enfin pour partie dans le cerveau.


« Nous sommes entrés dans l’ère de l’aluminium », explique le Pr Exley (spécialiste international de l’aluminium). Ce métal est omniprésent dans notre quotidien : dans les déodorants, les produits de beauté, l’alimentation, mais aussi dans les vaccins. Il s’avère pourtant être toxique et pourrait être à l’origine de maladies graves.



L'ingestion d'aluminium est éliminé par les fèces à 99,7 %, et seulement 0,3 % d'aluminium traverse les intestins en se liant à un transporteur comme l'albumine. Dans le cas d'une hyperperméabilité intestinale, l'aluminium pénètre plus facilement dans la paroi intestinale. Dans les urines 0,2 % d'aluminium est excrété par les reins sauf en cas de maladie rénale et 0,1 % d'aluminium est stocké dans différents organes comme le foie, les poumons, le cerveau et aussi les os.


Protégeons les enfants au nom de la santé, protégeons les animaux des dérives scientifiques qui sont niées et inutiles vu les circonstances, dénonçons le silence de mort qui règne dans les médias sur les études falsifiées par les industrielles véreux ...



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