Une bonne alimentation provient d'un sol vivant, d'une eau saine et d'un air non pollué. Les légumes, les fruits, les légumineuses, les céréales sont tout comme nous soumis à des colonisateurs, des dérèglements chimiques. Cette perturbation vient essentiellement de l'homme par l'utilisation de technique industrielle et de la pétrochimie (engrais, pesticides...).
Les contaminations sont donc d'ordre extrêmement graves compte tenu de notre constitution minéral et atomique au même titre que la terre et tous les êtres vivants.
Pour prétendre à une bonne santé, l'environnement joue un rôle clé dans notre immunité. Non seulement, on détruit les écosystèmes, mais nous détruisons aussi ce que nous sommes en pratiquant des activités qui détériorent le vivant. Les humains sont soumis également à l'enrichissement ou à l'appauvrissement de leur biotope.
Les insectes sont utiles pour préserver l'environnement, en privilégiant la biodiversité et en supprimant les produits phytosanitaires. Par exemple, les fourmis élèvent une armée de pucerons pour se nourrir de miellat. Tout deux ont un rapport mutualiste les fourmis mangent et en échange, les pucerons sont en partie protégés. Dans la nature, les prédateurs sont nombreux et les proies faciles à dévorer. Les crapauds sont très efficaces pour nettoyer les cultures d'invasion de fourmis, de limaces ou chenilles. Quant aux coccinelles, elles se régaleront d'une 50 de pucerons par jour.
Pour respecter la nature, il suffit de la laisser s'exprimer, de l'observer et de l'aider. Quelques tas de bois, de branches permettent d'abriter les hérissons. Des refuges sont nécessaires durant l'hiver pour la faune, vous pouvez laisser des tas de feuilles mortes, des pots en terre cuites abrités, des tas de pierres, des hôtels à insectes.
Une petite marre pour les libellules, des nichoirs pour les oiseaux, les herbes hautes pour laisser les graines s'envoler ...